Goddess

The literal meaning of the word "Maya" is illusion. Any thing which is added to the reality is illusion or Maya, and this veiling power of illusion is able to create the difference between 'me' and 'mine', of 'thee' and 'thine'. Maya creates the ignorance of the individual self. So Maya Shakti is the divine power which brings out the evolution of this present world. Apart from Maya Shakti, Maya also stands for a demon that was the architect of the demons and the creator of the magical arts.

vendredi, août 25, 2006

Scott, l'imposteur..!!!

Imposteur.

Cette semaine j’ai passé 3 tests pour savoir si Scott me mal traitait. Surprise, Scott n’est pas ce qu’on pensait qu’il était. Mon ouïe est parfaite, même dite très bonne. Mon équilibre est bon. Le seul petit problème étant la diffusion de l’information de mon tympan à mon cerveau. Ce qui prouve que c’est un problème neurologique.
Nouvelle évaluation de mon état de santé : Oui j’ai toujours une tumeur, mais c’est la nature/sorte qui n’était pas la bonne. Maintenant ils croient que j’ai un méningiome. Vous devez vous demander ce qu’un méningiome. Je vous explique :


Méningiomes

Les méningiomes représentent environ 20% des tumeurs intracrâniennes, et sont considérés comme des tumeurs bénignes dont le traitement chirurgical assure le plus souvent la guérison définitive. C’est une tumeur bénigne développée à partir des cellules arachnoïdiennes, de préférence au niveau ou tout près des sinus veineux de la dure-mère. Macroscopiquement, le méningiome est de siège extra cérébral, refoulant le cerveau qu’il n’envahit pas, et se présente sous la forme d’une masse arrondie, polylobée, d’aspect charnu, de 2 à 8 centimètres de diamètre. Son attachement à la dure-mère se fait au niveau d’une surface limitée, de la taille d’une pièce de monnaie, ou au contraire sur une large surface. Le méningiome est vascularisé principalement par les branches méningées de l’artère carotide externe.


Les principales localisations du méningiome sont la convexité cérébrale (30%), la faux du cerveau (30%), et la base du crâne (25%) dans la région ethmoïdo-frontale (méningiome frontal) et temporo-sphénoïdale (méningiome temporal). Quelques autres localisations sont plus rares comme la région de la selle turcique, de la fosse postérieure, de l’incisure tentorielle, ou encore plus rarement au niveau du ventricule cérébral (méningiome intraventriculaire). La découverte de plusieurs localisations méningiomateuses n’est pas exceptionnelle.


Il existe plusieurs types histologiques de méningiome, qui correspondent à des différences morphologiques, sans signification clinique ou pronostique particulière. Mais le risque de récidive après traitement peut parfois être annoncé par l’examen histologique.

Exceptionnellement le méningiome peut être malin ou subir une transformation maligne. Il existe une prédominance de survenue chez la femme, ce qui a fait rechercher une sensibilité hormonale particulière à cette tumeur et des récepteurs intratumoraux spécifiques.


La croissance du méningiome se compte en mois ou en années. La tumeur est longtemps bien tolérée. Ceci explique qu’elle peut être découverte tardivement alors qu’elle a déjà un diamètre important, et qu’elle a eu le temps de provoquer une déformation cérébrale majeure. Un oedème cérébral péritumoral est très fréquent ; son origine est diversement expliquée. Un envahissement de la dure-mère se produit au niveau de la zone d’insertion de la tumeur. Cela aboutit parfois à un véritable envahissement dédoublant la dure-mère ou même la traversant pour envahir l’os adjacent.


Le méningiome est découvert à l’occasion d’une crise convulsive, ou de signes déficitaires neurologiques ou neuropsychologiques liés à la compression du cerveau ou à l’envahissement progressif des sinus veineux. Une hypertension intracrânienne accompagne les méningiomes les plus volumineux.


Le diagnostic neuroradiologique d’un méningiome est en règle facile. Sur un scanner cérébral effectué avec une injection de produit de contraste, on découvre une lésion arrondie et régulière, paraissant accolée à la voûte crânienne sur plusieurs centimètres, prenant fortement et de façon homogène le contraste iodé. Le cerveau adjacent paraît refoulé et la substance blanche est hypodense témoignant de la présence d’un oedème parenchymateux associé. À l’IRM, le méningiome est aussi facilement visible, et prend le contraste après injection de gadolinium. La dure-mère autour du méningiome prend le contraste et peut apparaître épaissie, infiltrée. L’envahissement d’un sinus veineux peut être visible. Une angiographie cérébrale complèterait cette exploration montrant la vascularisation à partir d’une artère de la méninge, et l’envahissement des sinus veineux ; cet examen est réservé à l’enquête pré-chirurgicale.


Sauf contre-indication d’ordre général (âge, facteurs de risque anesthésique), le traitement chirurgical est le traitement de choix. Le principe de l’intervention est simple : ablation complète en masse de la tumeur, de son attache durale, et éventuellement de l’envahissement osseux adjacent. Cela suppose une reconstruction de la méninge, et de l’os. Certaines localisations rendent cet objectif impossible parce que la dure-mère ou l’os adjacent infiltrés ne peuvent être enlevés en totalité. C’est le cas par exemple lors de l’envahissement d’un gros sinus veineux, ou lorsque l’infiltration de la dure-mère est très étendue au-delà des limites de l’abord chirurgical. Une forme particulière de méningiome concerne la localisation au niveau du sinus caverneux ; son exérèse ne peut pas être totale car l’artère carotide et les nerfs oculomoteurs sont englobés dans la tumeur. Dans tous ces cas, une radiothérapie complémentaire peut être proposée pour freiner l’évolution tumorale ou réduire le risque de récidive qui est évalué entre 5 et 25% à 10 ans.

Source :http://www.unilim.fr/campus-neurochirurgie/article.php3?id_article=167&artsuite=1

Bon, ça donne une idée de ce que je peux avoir dans la tête. L’image prouve qu’elle n’est pas plus belle que sa consœur. (hihihi)

Ma belle sœur à eu un patient à sa clinique qui avait été opérer par le Neurochirurgien qui suit mon dossier et qui va m’opérer aussi. Je crois qu’il avait le même genre de tumeur que moi. Il lui a affirmé que le Neurochirurgien était un très TRÈS bon chirurgien. Qu’il s’en était remis très rapidement et que je devrais en faire autant peut être plus vite vu mon jeune âge et ma santé.

Le problème dans tout cela, c’est de ne pas savoir QUAND je vais me faire opérer. Moi qui est quelqu’un de très organiser, nager dans le néant me stresse…

Bon, prochaine nouvelle dans 1 semaine. J’espère que tout va être ok et que je vais pouvoir enfin me débarrasser de cette chose.